Acte un, scène deux ; Oh, si cette chair trop solide pouvait fondre….
Dans ce soliloque, Hamlet commence par exprimer son désir de disparaître, ou même de se tuer. « Oh, que cette chair trop, trop souillée, se fonde, se dégèle et se résout en rosée, ou que l’Éternel n’ait pas fixé son canon contre le meurtre de soi ! ».
L’éternel étant Dieu. Hamlet continue avec cette humeur lorsqu’il dit : « Comme ils me paraissent las, rassis, plats et sans utilité tous les usages de ce monde ! ». Ce qui signifie qu’il ne prend pas plaisir aux choses, et qu’il ne voit aucune utilité à ce monde.
Hamlet continue en disant combien il est déçu par sa mère pour s’être mariée si tôt après la mort de son père. » Mais deux mois de mort – non, pas tant que cela, pas deux. Un si excellent roi, c’était à cet Hypérion à un satyre. »
Dans ce segment, Hamlet nous dit que le vieux roi, son père, était de loin un meilleur roi que son oncle. Le reste de son soliloque porte sur sa déception envers sa mère qui s’est remariée si tôt.
« Un petit mois, ou avant que ces chaussures soient vieilles avec lesquelles elle suivait le corps de mon pauvre père… une bête qui veut le discours de la raison aurait pleuré plus longtemps !-marié avec mon oncle » Malgré toute sa déception, Hamlet termine en disant qu’il doit tenir sa langue, même si cela lui brise le cœur.
Hamlet n’aurait peut-être pas ressenti ce qu’il a ressenti si sa mère avait attendu pour se marier, mais Hamlet est un bon garçon et il aime clairement sa mère. Hamlet n’a pas du tout affronté sa mère et n’a pas sérieusement envisagé de se tuer avant de rencontrer le fantôme. Il ne s’est pas attardé sur l’idée du suicide et ne s’est plaint de sa mère que lorsqu’il était seul. S’il avait été autorisé à retourner à ses études, tout aurait été bien.
Acte trois, scène un ; Être, ou ne pas être ? Telle est la question.
Avec l’idée du suicide qui lui trotte dans la tête, Hamlet commence à se demander s’il doit vraiment le faire ou non. Il rend la mort plus convaincante en disant : « Mourir, dormir – rien de plus – et par un sommeil, dire que nous mettons fin aux peines de cœur et aux mille chocs naturels dont la chair est l’héritière – c’est une consommation qu’il faut souhaiter dévotement ! ». Hamlet présente un point pour l’autre côté de l’argument, « Car dans ce sommeil de la mort quels rêves peuvent venir… ».
L’argument continue, mais la peur de ce qui peut arriver après la mort gagne. « Ainsi la conscience fait de nous tous des lâches » conclut Hamlet. Ophélie s’approche, et Hamlet souhaite qu’elle prie pour lui.
Le suicide n’est jamais la solution, surtout quand on a un oncle à tuer, et Hamlet s’en rend vite compte après un long débat avec lui-même. Si Hamlet n’avait pas eu peur de ce qu’il y a après la mort, il se serait très probablement tué, que son oncle soit mort ou non. Hamlet voit Ophélie alors qu’il termine son débat, et s’est très probablement égayé… pour un court moment.
Hamlet était triste du début à la fin de la pièce. Tout au long de la pièce, Hamlet a exprimé sa tristesse et son désir de mort, que ce soit la sienne ou celle de son oncle. Être, ou ne pas être, était vraiment une pensée dans son esprit plus longue qu’une seule scène. A la fin, Hamlet a réalisé son souhait, son oncle est mort, et Hamlet lui-même a rejoint son père dans la mort.
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