Vous vous êtes déjà demandé ce qui entre dans un coup de gifle ? Comment faire travailler la science pour vous.

Cet article précédemment publié a été mis à jour.

Le tir frappé. C’est l’un des tirs les plus meurtriers du hockey, et il peut atteindre des vitesses de plus de 100 mph. La vidéo ci-dessous approfondit la science derrière le slap shot. Vous pouvez clairement voir la part du corps impliquée dans le tir, ainsi que la quantité considérable de flexion du bâton. Il va sans dire que ce tir est assez compliqué en termes de biomécanique.

Les 6 phases du tir frappé

  1. Backwing : L’enroulement avant le tir, avec la crosse de hockey en l’air derrière le joueur
  2. Downswing : Le mouvement de balancer la crosse de hockey vers le bas en direction du palet
  3. Préchargement : La flexion de la crosse de hockey avant que le palet de hockey entre en contact avec la lame
  4. Chargement : La flexion de la crosse de hockey lorsqu’elle est en contact avec le palet
  5. Libération : Lorsque le palet est libéré de la lame de la crosse
  6. Suivi : Le mouvement continu de la crosse de hockey vers la cible

Velocity

Puisque nous savons tous ce qu’est un slap shot, creusons plus profondément dans la biomécanique de celui-ci. Il existe de nombreux facteurs qui contribuent à la vélocité du palet lors d’un tel tir ; nous en avons énuméré quelques-uns ici :

  1. Impulsion de la rondelle
  2. Vélocité initiale et finale du bâton
  3. Rigidité du bâton (composition)
  4. Montant de la flexion du bâton
  5. Force exercée par le joueur

En outre, les phases de précharge, de charge, de relâchement et de suivi du tir frappé contribuent également à la vitesse du bâton. Cela entraîne à son tour un changement dans la vitesse du palet.

bikereview.com

Le rôle du bâton de hockey

La quantité de flexion du bâton est très perceptible, surtout celle d’un joueur de hockey d’élite. Cela se produit dans la phase de chargement, qui est initiée par la force de réaction au sol et la pression vers le bas de la main inférieure sur le manche de la crosse de hockey. Plus la crosse de hockey est flexible, plus l’énergie potentielle est accumulée et transformée en énergie cinétique, ce qui permet au palet de se propulser directement dans le filet. Un autre facteur qui contribue à la vitesse du palet est l’impulsion du palet. Les facteurs importants à prendre en compte sont :

  • Le temps pendant lequel le bâton est en contact avec le palet augmente la vitesse finale
  • Le temps de contact est augmenté par la quantité de flexion du bâton et le moment d’inertie final
  • La rotation du torse, des épaules, des biceps et des avant-bras en séquence aide à transférer l’élan des moments d’inertie les plus grands aux plus petits

ADVERTISSEMENT : Better Hockey Extreme Pro Stick Weight – Vous aide à obtenir un tir de hockey plus dur et des mains plus rapides – Poids ajustables – Deux sangles le maintiennent en place pour une utilisation sécurisée – Utilisé par les pros

Il est prouvé que les joueurs de hockey d’élite peuvent créer une vitesse maximale de la rondelle beaucoup plus grande dans leur tir frappé par rapport aux joueurs récréatifs (sans blague !). L’une des principales raisons pour lesquelles les joueurs d’élite sont capables de générer des slap shots beaucoup plus rapides est qu’ils sont en mesure de fléchir leur crosse de hockey beaucoup plus pendant le slap shot, ce qui augmente la durée de contact entre la rondelle et la crosse. Cela permet à la crosse de hockey d’accumuler de plus grandes quantités d’énergie potentielle, puis de la libérer comme un fouet qui aide à propulser le palet directement dans le filet.

Comme vous pouvez le voir sur le graphique ci-dessus, il existe des différences substantielles dans la flexion de la crosse de hockey, en plus du pourcentage de recul qui se produit lors du tir frappé entre les joueurs d’élite et les joueurs récréatifs. Le graphique montre que le joueur récréatif est capable de générer 18,2 % du temps de contact entre la lame et la rondelle en flexion, et moins ou égal à 35,4 % du temps de contact entre la lame et la rondelle en recul. En revanche, le joueur d’élite est capable de consacrer 28,8 % du temps de contact avec la lame et le palet à la flexion de la crosse et 59,8 % au recul. De plus, le joueur récréatif n’est pas capable de générer une déviation de la tige.

Pour un joueur d’élite, le temps moyen de contact lame-puck lors d’un slap shot est de 38ms, alors que le joueur récréatif n’est capable de maintenir un temps de contact lame-puck que de 27ms. Il est évident que le joueur récréatif a une vitesse finale beaucoup plus lente par rapport à celle du joueur d’élite, car le temps de contact lame-puck est beaucoup plus court.

Si tout cela vous déprime un peu, ne désespérez pas – nous sommes des joueurs de hockey récréatifs, après tout ! La vidéo ci-dessous vous aidera à perfectionner (ou du moins à améliorer) votre technique de tir frappé.

Du BPK201, une analyse approfondie du tir frappé au hockey. Étude menée par Alan Jin, Kim Hilton et Nicole Thomas de l’Université Simon Fraser, Burnaby, BC, Canada.

Vous aimez CrossIceHockey.com ? Faites passer le mot!

CrossIceHockey.com est soutenu par les lecteurs. Lorsque vous achetez via les liens sur notre site, nous pouvons gagner une commission d’affiliation sans frais supplémentaires pour vous. En savoir plus.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée.